J'ai rencontré Saint Benoît Joseph Labre sur plusieurs chemins de Compostelle.



Sur une variante de la Via Turonensis, entre Ligugé et
Saint Sauvant,
dans le petit village de Marçay.



Dans l'église Saint Médard ( ci-dessus) repose une partie des reliques du premier sanctifié au lendemain de la révolution française (ci-dessous), rapportée de Rome par un ancien curé de la paroisse.



Une bannière en son honneur (ci-dessous), datée du 18 août 1890, rappelle les grands pèlerinages de la fin du 19e siècle.



Une basilique dédiée au saint a été construite à proximité.
Elle est en cours de rénovation (ci-dessous).



Sur la Via Podiensis, dans l'église de Saint Hilaire Lalbenque (autel ci-dessous), est organisée chaque année une neuvaine en l'honneur de Saint Benoît Joseph Labre.



Sur la Voie du Piémont Pyrénéen, dans la basilique souterraine de Lourdes (ci-dessous)...



Sur la Voie du Piémont Pyrénéen, dans la cathédrale de Saint Bertrand de Comminges (ci-dessous) où Benoît Joseph est venu en 1773. Le pèlerin mendiant fut emprisonné à la suite d'une agression commise sur une route voisine. Reconnu innocent, il passa quinze jours à soigner les malades dans l'hôpital de la ville.



Sur la Voie d'Arles, dans la basilique Saint Sernin de Toulouse (ci-dessous).




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